Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : LEQUAIN Elodie
Date de soutenance : 2005
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 21 : Histoire, civilisations, art (mondes anciens et médiévaux)
Discipline(s) : Histoire médiévale
Sous la direction de : Colette BEAUNE
La thèse étudie l’éducation religieuse, sociale et intellectuelle. La première partie présente le contexte pédagogique. La littérature didactique donne les normes et le déroulement de la formation. Il s’agit d’une éducation sur le long terme et complétée pour l’aspect pratique par la vie à la cour. La seconde partie traite de l’éducation religieuse et morale. La dame est tributaire de sa nature et de son rang. Les textes dénoncent les vices, conseillent des vertus ou un emploi du temps. La troisième partie étudie l’éducation sociale. Instruite de ses rôles d’épouse ou de mère, la dame doit gérer sa cour en fonction de critères moraux et techniques. La dimension politique de son éducation apparaît. La perfection, incarnée par la bonne réputation, justifie la place privilégiée de la noble dame. La quatrième partie étudie la formation intellectuelle. Les lectures féminines témoignent d’une culture qui n’est ni médiocre ni passive. Une dame bien éduquée est parfaite envers Dieu et envers le monde.
L'éducation des femmes de la noblesse en France au Moyen Âge (XIIIe-XVe siècle)
Auteur(s) : LEQUAIN Elodie
Date de soutenance : 2005
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 21 : Histoire, civilisations, art (mondes anciens et médiévaux)
Discipline(s) : Histoire médiévale
Sous la direction de : Colette BEAUNE
La thèse étudie l’éducation religieuse, sociale et intellectuelle. La première partie présente le contexte pédagogique. La littérature didactique donne les normes et le déroulement de la formation. Il s’agit d’une éducation sur le long terme et complétée pour l’aspect pratique par la vie à la cour. La seconde partie traite de l’éducation religieuse et morale. La dame est tributaire de sa nature et de son rang. Les textes dénoncent les vices, conseillent des vertus ou un emploi du temps. La troisième partie étudie l’éducation sociale. Instruite de ses rôles d’épouse ou de mère, la dame doit gérer sa cour en fonction de critères moraux et techniques. La dimension politique de son éducation apparaît. La perfection, incarnée par la bonne réputation, justifie la place privilégiée de la noble dame. La quatrième partie étudie la formation intellectuelle. Les lectures féminines témoignent d’une culture qui n’est ni médiocre ni passive. Une dame bien éduquée est parfaite envers Dieu et envers le monde.
