Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : PONTE Pascale
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Jacky BEILLEROT
Entrer en apprentissage, c'est accepter de concevoir un avenir qu'il soit auto envisagé ou qu'il soit une entreprise familiale. Il y a à tous les stades de développement une position d'ouverture au monde pour résoudre sa condition d'être temporel. Cependant, la résolution de cette condition ne débouche pas nécessairement sur l'investissement des apprentissages scolaires. Et c'est, selon les théories qui fondent la recherche effectuée, dans le rapport au temps que se noue une des formes du rapport au savoir. La méthodologie employée est l'analyse de 109 cahiers de bord d'élèves de 8 à 12 ans. Ces cahiers sont tenus de façon régulière. Cette étude est menée de 1995 à 2001. Cette analyse est le croisement des théories philosophiques du temps, des théories psychogénétiques du développement de la notion de temps, et des travaux de linguistes. De plus, croisée par une étude lexicométrique, elle a permis de mettre à jour des différents rapports aux temps de ces élèves.
D'hier à aujourd'hui, il y a demain : le rapport au temps d'élèves de cycle III
Auteur(s) : PONTE Pascale
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Jacky BEILLEROT
Entrer en apprentissage, c'est accepter de concevoir un avenir qu'il soit auto envisagé ou qu'il soit une entreprise familiale. Il y a à tous les stades de développement une position d'ouverture au monde pour résoudre sa condition d'être temporel. Cependant, la résolution de cette condition ne débouche pas nécessairement sur l'investissement des apprentissages scolaires. Et c'est, selon les théories qui fondent la recherche effectuée, dans le rapport au temps que se noue une des formes du rapport au savoir. La méthodologie employée est l'analyse de 109 cahiers de bord d'élèves de 8 à 12 ans. Ces cahiers sont tenus de façon régulière. Cette étude est menée de 1995 à 2001. Cette analyse est le croisement des théories philosophiques du temps, des théories psychogénétiques du développement de la notion de temps, et des travaux de linguistes. De plus, croisée par une étude lexicométrique, elle a permis de mettre à jour des différents rapports aux temps de ces élèves.