Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : GUILLAUME Bernard
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Lumière-Lyon 2
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Alain MOUGNIOTTE
Jury de thèse : MOUGNIOTTE Alain, Professeur à l'Université Lyon 2, FAVORY François, Professeur à L'université de Besançon, HADJI Charles, Profeseur émerité à l'Université Grenoble 2, AVANZINI Guy, Professeur émerite à L'Université Lyon 2, RAYNAUD Claude, chargé de recherche habilité au CNRS
2004.guillaume_b L'étude cherche à montrer si l'enseignant peut avec une approche archéologique fondée sur des sources de l'histoire non écrite, relatifs aux vestiges matériels, améliorer la transmission et l'acquisition des connaissances définies par les programmes officiels de l'enseignement de l'histoire. Elle veut approfondir les relations entre l'archéologie et cet enseignement. Son premier aspect est théorique. Nous avons étudié l'ensemble des principaux textes officiels de 1865 à 1998, pour voir comment cette approche peut être mise en oeuvre si l'on considère les savoirs, les méthodes historiques auxquels ils appartiennent. Deux éléments présents dans tous les programmes, la maison romaine et le château médiéval, nous ont permis d'approfondir nos réflexions afin de savoir si les champs de ces deux sources d'informations sont complémentaires ou cumulatifs. Le deuxième aspect de l'étude est didactique et repose sur une importante expérimentation pendant deux années scolaires entre cinq établissements. Nous avons coordonné une comparaison entre des classes-témoins de 6e et de 5e qui suivaient une approche historique archéologique et d'autres, une démarche historique dite classique basée sur des documents écrits. L'archéologie tend alors à prendre plus de place dans les textes officiels. L'enseignant peut s'en servir pour bâtir un outil didactique qui lui permettra d'obtenir en moyenne de meilleurs résultats dans les deux niveaux de classes indiquées pour des différentes raisons complexes et étroitement liées les unes aux autres. C'est pourquoi nous nous interrogeons sur la part plus importante que pourrait prendre l'archéologie dans l'enseignement de l'histoire.
URL : http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2004/guillaume_b
Les apports de l'archéologie à l'enseignement de l'histoire.
Auteur(s) : GUILLAUME Bernard
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Lumière-Lyon 2
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Alain MOUGNIOTTE
Jury de thèse : MOUGNIOTTE Alain, Professeur à l'Université Lyon 2, FAVORY François, Professeur à L'université de Besançon, HADJI Charles, Profeseur émerité à l'Université Grenoble 2, AVANZINI Guy, Professeur émerite à L'Université Lyon 2, RAYNAUD Claude, chargé de recherche habilité au CNRS
2004.guillaume_b L'étude cherche à montrer si l'enseignant peut avec une approche archéologique fondée sur des sources de l'histoire non écrite, relatifs aux vestiges matériels, améliorer la transmission et l'acquisition des connaissances définies par les programmes officiels de l'enseignement de l'histoire. Elle veut approfondir les relations entre l'archéologie et cet enseignement. Son premier aspect est théorique. Nous avons étudié l'ensemble des principaux textes officiels de 1865 à 1998, pour voir comment cette approche peut être mise en oeuvre si l'on considère les savoirs, les méthodes historiques auxquels ils appartiennent. Deux éléments présents dans tous les programmes, la maison romaine et le château médiéval, nous ont permis d'approfondir nos réflexions afin de savoir si les champs de ces deux sources d'informations sont complémentaires ou cumulatifs. Le deuxième aspect de l'étude est didactique et repose sur une importante expérimentation pendant deux années scolaires entre cinq établissements. Nous avons coordonné une comparaison entre des classes-témoins de 6e et de 5e qui suivaient une approche historique archéologique et d'autres, une démarche historique dite classique basée sur des documents écrits. L'archéologie tend alors à prendre plus de place dans les textes officiels. L'enseignant peut s'en servir pour bâtir un outil didactique qui lui permettra d'obtenir en moyenne de meilleurs résultats dans les deux niveaux de classes indiquées pour des différentes raisons complexes et étroitement liées les unes aux autres. C'est pourquoi nous nous interrogeons sur la part plus importante que pourrait prendre l'archéologie dans l'enseignement de l'histoire.
URL : http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2004/guillaume_b