Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : LOIRAT-MALLET Marie-Anne
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Centre de recherche en éducation de Nantes
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Martine LANI-BAYLE
Dans toute classe il existe une distribution implicite des élèves : les bons, les moyens, les faibles. Le statut scolaire est attribué par les enseignants. Mais selon les pratiques pédagogiques, il est plus ou moins communiqué aux enfants qui en ont une représentation. Cette image de soi peut primer sur le jugement professoral. Ces décalages sont alors plus ou moins importants, les plus couramment repérés étant ceux qui ne s'effectuent que d'un cran, les plus rares étant ceux a deux crans (un bon qui se juge moyen ou faible). Ces illusions perceptives sont évolutives, elles dépassent la simple représentation de l'élève, sont en lien avec l'image de soi que se construit l'enfant selon son parcours de vie et sont le témoignage d'une aptitude à réagir face à un statut imposé. Quelles en sont les répercussions sur les résultats scolaires ? Se déclarer " en décalage " n'est-ce pas une sorte de levier de résilience, permettant à certains de rebondir, à d'autres de régresser ?
mot(s) clé(s) : représentations
Statut scolaire et image de soi en fin de primaire : étude clinique de la représentation par l'enfant de son niveau et de ses inférences sur sa scolarité
Auteur(s) : LOIRAT-MALLET Marie-Anne
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Centre de recherche en éducation de Nantes
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Martine LANI-BAYLE
Dans toute classe il existe une distribution implicite des élèves : les bons, les moyens, les faibles. Le statut scolaire est attribué par les enseignants. Mais selon les pratiques pédagogiques, il est plus ou moins communiqué aux enfants qui en ont une représentation. Cette image de soi peut primer sur le jugement professoral. Ces décalages sont alors plus ou moins importants, les plus couramment repérés étant ceux qui ne s'effectuent que d'un cran, les plus rares étant ceux a deux crans (un bon qui se juge moyen ou faible). Ces illusions perceptives sont évolutives, elles dépassent la simple représentation de l'élève, sont en lien avec l'image de soi que se construit l'enfant selon son parcours de vie et sont le témoignage d'une aptitude à réagir face à un statut imposé. Quelles en sont les répercussions sur les résultats scolaires ? Se déclarer " en décalage " n'est-ce pas une sorte de levier de résilience, permettant à certains de rebondir, à d'autres de régresser ?
mot(s) clé(s) : représentations