Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : MARTY Nicole
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 07 : Sciences du langage
Discipline(s) : Sciences du langage
Sous la direction de : Jacques ANIS
Jury de thèse : CHISS Jean-Louis, Professeur en Sciences du Langage, Université Paris III - ANIS Jacques, Professeur en Sciences du Langage, Université Paris X - BARRE - DE MINIAC Christine, Professeur en Sciences de l’Education, IUFM de Grenoble - PLANE Sylvie, Professeur en Sciences du Langage, IUFM de Paris
Cette recherche sur les pratiques d’écriture à l’école primaire, utilisant les technologies nouvelles, se situe dans le champ disciplinaire de la linguistique, plus précisément celui de la sémiolinguistique de l’écrit et de la psycholinguistique. Le but a été de conduire une réflexion d’ordre didactique sur les mutations de l’écrit scolaire à l’heure où les écoles s’équipent en ordinateurs et se connectent à Internet. Il s’agissait notamment d’observer, dans des écoles parisiennes, des élèves effectuant des tâches d’écriture, devant des ordinateurs, en interaction avec des adultes et en coopération avec des pairs. Dans ce cadre, l’observation a pris appui sur les dialogues des élèves, sur leurs traces écrites et sur leurs témoignages. L’hypothèse majeure de la recherche concerne l’écriture des enfants dans des environnements informatiques : l’enfant peut développer de nouvelles compétences langagières, dans le cadre scolaire, par le biais de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, en interaction avec des adultes plus experts et d’autres élèves. L’hypothèse plus générale, sous-jacente, prenant appui sur les travaux de Jacques Anis, est que cette évolution de l’écriture scolaire est induite par les usages sociaux de ces nouveaux outils d’écriture. L’apport spécifique de cette recherche, de nature plutôt descriptive, réside dans l’attention portée à la genèse des textes d’enfants, aux données métalinguistiques que l’on peut y répertorier, aux témoignages recueillis sur les pratiques d’écriture dans des environnements informatiques.
Pratiques d'écriture à l'école primaire : l'apport des nouvelles technologies
Auteur(s) : MARTY Nicole
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense
Section(s) CNU : section 07 : Sciences du langage
Discipline(s) : Sciences du langage
Sous la direction de : Jacques ANIS
Jury de thèse : CHISS Jean-Louis, Professeur en Sciences du Langage, Université Paris III - ANIS Jacques, Professeur en Sciences du Langage, Université Paris X - BARRE - DE MINIAC Christine, Professeur en Sciences de l’Education, IUFM de Grenoble - PLANE Sylvie, Professeur en Sciences du Langage, IUFM de Paris
Cette recherche sur les pratiques d’écriture à l’école primaire, utilisant les technologies nouvelles, se situe dans le champ disciplinaire de la linguistique, plus précisément celui de la sémiolinguistique de l’écrit et de la psycholinguistique. Le but a été de conduire une réflexion d’ordre didactique sur les mutations de l’écrit scolaire à l’heure où les écoles s’équipent en ordinateurs et se connectent à Internet. Il s’agissait notamment d’observer, dans des écoles parisiennes, des élèves effectuant des tâches d’écriture, devant des ordinateurs, en interaction avec des adultes et en coopération avec des pairs. Dans ce cadre, l’observation a pris appui sur les dialogues des élèves, sur leurs traces écrites et sur leurs témoignages. L’hypothèse majeure de la recherche concerne l’écriture des enfants dans des environnements informatiques : l’enfant peut développer de nouvelles compétences langagières, dans le cadre scolaire, par le biais de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, en interaction avec des adultes plus experts et d’autres élèves. L’hypothèse plus générale, sous-jacente, prenant appui sur les travaux de Jacques Anis, est que cette évolution de l’écriture scolaire est induite par les usages sociaux de ces nouveaux outils d’écriture. L’apport spécifique de cette recherche, de nature plutôt descriptive, réside dans l’attention portée à la genèse des textes d’enfants, aux données métalinguistiques que l’on peut y répertorier, aux témoignages recueillis sur les pratiques d’écriture dans des environnements informatiques.