Éduactu
Langue(s) : français
Auteur(s) : Brigitte Hazard, Roger-François Gauthier, Raymond Nicodeme
Editeur(s) : Ministère de l'Éducation nationale
Date : 09/2012
Le présent rapport montre en quoi la question initiale de l’attestation de maîtrise du socle a été inutilement compliquée au fil des circulaires.
La mission a mis en évidence le caractère disparate de la mise en œuvre du LPC selon les académies et les établissements.
Elle a constaté que le livret ne jouait pas non plus son rôle d’outil de suivi personnalisé des parcours. Le LPC est la plupart du temps ignoré dans la communication avec les familles, auxquelles il était on non transmis, dans une conception très floue de leurs droits.
Au plan pédagogique, le LPC est apparu comme un révélateur des difficultés pour les acteurs des collèges à articuler maîtrise du socle et programmes disciplinaires d’une part, évaluation par compétences et notes chiffrées d’autre part. La mission a également approfondi la question de la fonction du LPC en termes de certification de fin de scolarité obligatoire et interrogé sa cohabitation avec le DNB, pour constater que ce diplôme, tel qu’il est actuellement, mêlant une extrême complexité réglementaire à une qualité évaluatrice déficiente, est en lui-même un obstacle fort à la mise en place de la logique du socle commun et que sa cohabitation avec le LPC est productrice de non-sens.
Télécharger le document : http://media.education.gouv.fr/.../Rapport-IGEN-IGANER-2012-094-La-mise-en-oeuvre-du-livret-personnel-de-competences-au-college_226672.pdf
mot(s) clé(s) : compétences, évaluation
La mise en œuvre du livret personnel de compétences au collège
Auteur(s) : Brigitte Hazard, Roger-François Gauthier, Raymond Nicodeme
Editeur(s) : Ministère de l'Éducation nationale
Date : 09/2012
Le présent rapport montre en quoi la question initiale de l’attestation de maîtrise du socle a été inutilement compliquée au fil des circulaires.
La mission a mis en évidence le caractère disparate de la mise en œuvre du LPC selon les académies et les établissements.
Elle a constaté que le livret ne jouait pas non plus son rôle d’outil de suivi personnalisé des parcours. Le LPC est la plupart du temps ignoré dans la communication avec les familles, auxquelles il était on non transmis, dans une conception très floue de leurs droits.
Au plan pédagogique, le LPC est apparu comme un révélateur des difficultés pour les acteurs des collèges à articuler maîtrise du socle et programmes disciplinaires d’une part, évaluation par compétences et notes chiffrées d’autre part. La mission a également approfondi la question de la fonction du LPC en termes de certification de fin de scolarité obligatoire et interrogé sa cohabitation avec le DNB, pour constater que ce diplôme, tel qu’il est actuellement, mêlant une extrême complexité réglementaire à une qualité évaluatrice déficiente, est en lui-même un obstacle fort à la mise en place de la logique du socle commun et que sa cohabitation avec le LPC est productrice de non-sens.
Télécharger le document : http://media.education.gouv.fr/.../Rapport-IGEN-IGANER-2012-094-La-mise-en-oeuvre-du-livret-personnel-de-competences-au-college_226672.pdf
mot(s) clé(s) : compétences, évaluation
