Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : DICKO Aïssata
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université Toulouse - Jean Jaurès
Section(s) CNU : section 19 : Sociologie, démographie
Discipline(s) : Sociologie
Sous la direction de : Alain TARRIUS
Jury de thèse : Bordes-Benayoun C. (Toulouse II), Charbit Y. (Paris V), Tarrius A. (Toulouse II), Zirotti J.-P. (Université Nice Sophia-Antipolis)
Equipe d'accueil : Centre d'Étude des Rationalités et des Savoirs(CERS) Au Mali les jeunes filles sont moins scolarisées que les garçons. Cette sous-scolarisation des filles est liée à des facteurs d'ordre socioculturels, religieux, économiques et institutionnels, ce qui nous fait dire qu'elle est une affaire de handicap. Parmi les freins cités figurent les grossesses précoces en cours de scolarité qui font, aussi, courir des risques sanitaires à la mère et à l'enfant. Aussi, l'enseignement de la planification familiale fut-il introduit pour tenter de juguler le fléau. Dans ce domaine le rôle de l'éducation est central comme l'ont démontré les cas des jeunes filles étudiés dans cette thèse, (les résultats des questionnaires, de l'enquête qualitative et les récits de vie) ainsi que les travaux d'éminents chercheurs cités tout au long de cette thèse. La scolarisation peut inciter une jeune fille à pratiquer la planification familiale et cela peut contribuer à une rétention plus durable à l'école.
Scolarité des filles et planification des naissances au Mali. Quelles interactions possibles ? Quels impacts ?
Auteur(s) : DICKO Aïssata
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université Toulouse - Jean Jaurès
Section(s) CNU : section 19 : Sociologie, démographie
Discipline(s) : Sociologie
Sous la direction de : Alain TARRIUS
Jury de thèse : Bordes-Benayoun C. (Toulouse II), Charbit Y. (Paris V), Tarrius A. (Toulouse II), Zirotti J.-P. (Université Nice Sophia-Antipolis)
Equipe d'accueil : Centre d'Étude des Rationalités et des Savoirs(CERS) Au Mali les jeunes filles sont moins scolarisées que les garçons. Cette sous-scolarisation des filles est liée à des facteurs d'ordre socioculturels, religieux, économiques et institutionnels, ce qui nous fait dire qu'elle est une affaire de handicap. Parmi les freins cités figurent les grossesses précoces en cours de scolarité qui font, aussi, courir des risques sanitaires à la mère et à l'enfant. Aussi, l'enseignement de la planification familiale fut-il introduit pour tenter de juguler le fléau. Dans ce domaine le rôle de l'éducation est central comme l'ont démontré les cas des jeunes filles étudiés dans cette thèse, (les résultats des questionnaires, de l'enquête qualitative et les récits de vie) ainsi que les travaux d'éminents chercheurs cités tout au long de cette thèse. La scolarisation peut inciter une jeune fille à pratiquer la planification familiale et cela peut contribuer à une rétention plus durable à l'école.