Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : OLIVEAU-STATIUS Sophie
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université de Caen-Basse-Normandie
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Jean GUGLIELMI
Jury de thèse : Bautier, Elisabeth (Sciences de l'éducation, Université Paris 8), Chiss, Jean-louis ( Sciences du langage, Université Paris 3), Cotten Jean-Pierre (Philosophie, Université de Franche-Comté), Fabiani Jean-Louis (Sociologie, EHESS), Guglielmi Jean
Thèse préparée dans le cadre du Centre d'études et de recherche en sciences de l'éducation (CERSE) La question classique du rapport langue-pensée se voit formulée en termes nouveaux à la fin du XIXe siècle en France par la science du langage et les sciences humaines naissantes en général : c’est le vocabulaire de la vie qui permet désormais d’énoncer un rapport d’indépendance partielle pensé sous le signe du hasard et du mouvement. L’examen des nouvelles formulations de ce rapport permet d’évaluer le poids des sciences de la nature dans le discours sur la langue fin XIXe comme de comprendre les enjeux de l’enseignement de la langue à cette époque.
La vie du langage. Les rapports entre langue et pensée dans les discours sur la langue en France, autour de 1890
Auteur(s) : OLIVEAU-STATIUS Sophie
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université de Caen-Basse-Normandie
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Jean GUGLIELMI
Jury de thèse : Bautier, Elisabeth (Sciences de l'éducation, Université Paris 8), Chiss, Jean-louis ( Sciences du langage, Université Paris 3), Cotten Jean-Pierre (Philosophie, Université de Franche-Comté), Fabiani Jean-Louis (Sociologie, EHESS), Guglielmi Jean
Thèse préparée dans le cadre du Centre d'études et de recherche en sciences de l'éducation (CERSE) La question classique du rapport langue-pensée se voit formulée en termes nouveaux à la fin du XIXe siècle en France par la science du langage et les sciences humaines naissantes en général : c’est le vocabulaire de la vie qui permet désormais d’énoncer un rapport d’indépendance partielle pensé sous le signe du hasard et du mouvement. L’examen des nouvelles formulations de ce rapport permet d’évaluer le poids des sciences de la nature dans le discours sur la langue fin XIXe comme de comprendre les enjeux de l’enseignement de la langue à cette époque.