Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : SAGLAM Ayse
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Joseph Fourier
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Mathématiques
Jury de thèse : Chaachoua, Abdelhamid/ Dorier, Jean-Luc/ Dufayard, Jean/ Dumon, Alain/ Lacroix, Daniel/ Schneider, Maggy
Depuis son invention au 17ème siècle, les équations différentielles font partie des concepts qui assurent remarquablement la relation entre les mathématiques et la physique. Cette thèse tend à expliciter les caractéristiqu es de cette relation dans l'institution scolaire. Le questionnement initial est centré plus particulièrement sur les conditions de l'enseignement et mais aussi sur celles de l'apprentissage de ce concept en première année d'université. Nous menons tout d'abord une brève étude historique qui vise à déceler le rôle joué par les sciences physiques lors de l'émergence de ce concept et tout au long de son évolution historique. En nous plaçant dans le cadre de la théorie d'anthropologie de la didactique, nous étudions, dans un deuxième temps, le rapport institutionnel aux équations différentielles grâce à une analyse (écologique et praxéologique) des manuels scolaires de la classe de Terminale S et des polycopiés et des notes d'observation de cours de mathématiques et d'électrocinétique, en première année universitaire. Cette analyse nous a permis de décrire les caractéristiques générales de l'enseignement de ce concept dans les deux disciplines. Cette étude est complé tée par une analyse des rapports personnels d'étudiants au concept d'équation différentielle en première année de l'université, via l'analyse de leurs productions à des tests que nous avons proposés en mathématiques et en sciences physiques. Les tâches proposées dans ces tests invitent les étudiants à travailler à la fois le statut "objet" et le statut "modèle" des équations différentielles respectivement en mathématiques et en sciences physiques.
Les équations différentielles en mathématiques et en physique : étude des conditions de leur enseignement et caractérisation des rapports personnels des étudiants de première année d'université à cet objet de savoir
Auteur(s) : SAGLAM Ayse
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Joseph Fourier
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Mathématiques
Jury de thèse : Chaachoua, Abdelhamid/ Dorier, Jean-Luc/ Dufayard, Jean/ Dumon, Alain/ Lacroix, Daniel/ Schneider, Maggy
Depuis son invention au 17ème siècle, les équations différentielles font partie des concepts qui assurent remarquablement la relation entre les mathématiques et la physique. Cette thèse tend à expliciter les caractéristiqu es de cette relation dans l'institution scolaire. Le questionnement initial est centré plus particulièrement sur les conditions de l'enseignement et mais aussi sur celles de l'apprentissage de ce concept en première année d'université. Nous menons tout d'abord une brève étude historique qui vise à déceler le rôle joué par les sciences physiques lors de l'émergence de ce concept et tout au long de son évolution historique. En nous plaçant dans le cadre de la théorie d'anthropologie de la didactique, nous étudions, dans un deuxième temps, le rapport institutionnel aux équations différentielles grâce à une analyse (écologique et praxéologique) des manuels scolaires de la classe de Terminale S et des polycopiés et des notes d'observation de cours de mathématiques et d'électrocinétique, en première année universitaire. Cette analyse nous a permis de décrire les caractéristiques générales de l'enseignement de ce concept dans les deux disciplines. Cette étude est complé tée par une analyse des rapports personnels d'étudiants au concept d'équation différentielle en première année de l'université, via l'analyse de leurs productions à des tests que nous avons proposés en mathématiques et en sciences physiques. Les tâches proposées dans ces tests invitent les étudiants à travailler à la fois le statut "objet" et le statut "modèle" des équations différentielles respectivement en mathématiques et en sciences physiques.