Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : DOIGNON Nadège
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université de Bourgogne
Section(s) CNU : section 16 : Psychologie, psychologie clinique, psychologie sociale
Discipline(s) : Psychologie cognitive
Sous la direction de : Daniel ZAGAR
L'objectif était d'étudier la nature des unités infralexicales identifiées au cours de la reconnaissance des mots écrits avec le paradigme des conjonctions illusoires. Nous nous sommes intéressés aux unités syllabiques et à la redondance orthographique. Nos résultats ont mis en évidence une influence de ces deux sources d'information sur les unités de lecture. L'influence syllabique était atténuée lorsque les propriétés orthographiques ne favorisaient pas la segmentation syllabique. D'autres résultats ont été mis en évidence : une influence des indices orthographiques tels que les consonnes ; un effet de fréquence syllabique, suggérant une représentation mentale des syllabes ; l'implication d'influences lexicale et prélexicale sur les unités de lecture ; des résultats similaires chez les lecteurs experts et débutants.
Les unités de lecture dans la reconnaissance visuelle des mots : le paradigme des conjonctions illusoires
Auteur(s) : DOIGNON Nadège
Date de soutenance : 2003
Thèse délivrée par : Université de Bourgogne
Section(s) CNU : section 16 : Psychologie, psychologie clinique, psychologie sociale
Discipline(s) : Psychologie cognitive
Sous la direction de : Daniel ZAGAR
L'objectif était d'étudier la nature des unités infralexicales identifiées au cours de la reconnaissance des mots écrits avec le paradigme des conjonctions illusoires. Nous nous sommes intéressés aux unités syllabiques et à la redondance orthographique. Nos résultats ont mis en évidence une influence de ces deux sources d'information sur les unités de lecture. L'influence syllabique était atténuée lorsque les propriétés orthographiques ne favorisaient pas la segmentation syllabique. D'autres résultats ont été mis en évidence : une influence des indices orthographiques tels que les consonnes ; un effet de fréquence syllabique, suggérant une représentation mentale des syllabes ; l'implication d'influences lexicale et prélexicale sur les unités de lecture ; des résultats similaires chez les lecteurs experts et débutants.