Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : BISHOP Marie-France
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Charles de Gaulle-Lille 3
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Yves REUTER
Les écritures à la première personne occupent une place non négligeable dans les pratiques rédactionnelles scolaires. Elles apparaissent dans le primaire dès la naissance de la rédaction, à la fin du XIXe siècle, et sont utilisées tout au long du XXe siècle. Chaque période leur assigne une place et des fonctions différentes, fortement liées aux conceptions dominantes sur l'enseignement et sur l'enfant. L'analyse des textes officiels ou des discours pédagogiques, rend compte de la diversité des enjeux qui leur sont associés. La lecture des cahiers et des copies d'élèves permet d'en percevoir les ambiguités et l'évolution. Car la relation que l'école entretient avec ces écritures particulières est souvent ambivalente et rarement définie avec clarté. Leurs caractéristiques particulières sont peu prises en compte. L'objectif de cette recherche est de les envisager comme un genre scolaire singulier et enseignable
Les écritures de soi à l'école primaire de 1850 à 2004
Auteur(s) : BISHOP Marie-France
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université Charles de Gaulle-Lille 3
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Yves REUTER
Les écritures à la première personne occupent une place non négligeable dans les pratiques rédactionnelles scolaires. Elles apparaissent dans le primaire dès la naissance de la rédaction, à la fin du XIXe siècle, et sont utilisées tout au long du XXe siècle. Chaque période leur assigne une place et des fonctions différentes, fortement liées aux conceptions dominantes sur l'enseignement et sur l'enfant. L'analyse des textes officiels ou des discours pédagogiques, rend compte de la diversité des enjeux qui leur sont associés. La lecture des cahiers et des copies d'élèves permet d'en percevoir les ambiguités et l'évolution. Car la relation que l'école entretient avec ces écritures particulières est souvent ambivalente et rarement définie avec clarté. Leurs caractéristiques particulières sont peu prises en compte. L'objectif de cette recherche est de les envisager comme un genre scolaire singulier et enseignable
