Pays : France
Langue(s) : français
Auteur(s) : VIGNERON Cécile
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université de Bourgogne
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Marie DURU-BELLAT
Jury de thèse : Marie DURU-BELLAT , Chantal AMADE ESCOT, Geneviève COGERINO, Marc DURAND, Nicole MOSCONI
Cette recherche tente d'analyser les mécanismes sociaux et scolaires suceptibles d'expliquer les écarts de résultats en EPS, au baccalauréat, entre filles et garçons. Les difficultés constatées chez les filles sont souvent reliées à leurs ressources physiologiques supposées moindres, ou encore à des phénomènes sociaux ou culturels. Le travail réalisé à partir de questionnaires sur une population de 1245 élèves et leurs enseignants d'EPS, a cherché à objectiver l'impact de tels facteurs, mais ensuite, il a surtout scruté, au sein du système scolaire les paramètres potentiellement générateurs d'inégalités. Après avoir envisagé l'aspect androcentré de la discipline, ou encore les effets d'attente des enseignants, le travail s'est porté sur les contenus enseignés en sports collectifs, particulièrement discriminants pour les filles. L'étude montre que les processus de sélection, de transmission des savoirs se soucient peu des difficultés rencontrées, pourtant identifiées chez les filles. Accès à la thèse en ligne et à ses annexes
La construction des inégalités de réussite en EPS au baccalauréat entre filles et garçons
Auteur(s) : VIGNERON Cécile
Date de soutenance : 2004
Thèse délivrée par : Université de Bourgogne
Section(s) CNU : section 70 : Sciences de l'éducation
Discipline(s) : Sciences de l'éducation
Sous la direction de : Marie DURU-BELLAT
Jury de thèse : Marie DURU-BELLAT , Chantal AMADE ESCOT, Geneviève COGERINO, Marc DURAND, Nicole MOSCONI
Cette recherche tente d'analyser les mécanismes sociaux et scolaires suceptibles d'expliquer les écarts de résultats en EPS, au baccalauréat, entre filles et garçons. Les difficultés constatées chez les filles sont souvent reliées à leurs ressources physiologiques supposées moindres, ou encore à des phénomènes sociaux ou culturels. Le travail réalisé à partir de questionnaires sur une population de 1245 élèves et leurs enseignants d'EPS, a cherché à objectiver l'impact de tels facteurs, mais ensuite, il a surtout scruté, au sein du système scolaire les paramètres potentiellement générateurs d'inégalités. Après avoir envisagé l'aspect androcentré de la discipline, ou encore les effets d'attente des enseignants, le travail s'est porté sur les contenus enseignés en sports collectifs, particulièrement discriminants pour les filles. L'étude montre que les processus de sélection, de transmission des savoirs se soucient peu des difficultés rencontrées, pourtant identifiées chez les filles. Accès à la thèse en ligne et à ses annexes